23 juillet 2008
Délirium maigre comme le chat
C'est l'histoire d'un chat bocalisé et fêlé du bocal. Alizé était son nom.
Dans la tour où il spiralait (en sortant parfois par les fenêtres), il se sentait si seul, ce chaton perdu et éperdu d'amour pour les femmes.
Un jour, il tomba le vent par terre (et non pas sur ses pattes), en voyant cette créature.
Son esprit fut torduré, c'est le mot. Dans sa folie, il rechercha la consolation auprès des gothiques. Mais...
autant se cacher les oreilles à l'envers dans un champ de tulipes, n'est-ce pas?
Bref, le chat resta donc romantique dans son monde aux griffes venteuses.
Eh bien oui, parfois, je me dis, que moi-aussi, je suis un chat-vent fou.
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